Les plus beaux itinéraires à vélo dans le sud de la France
Le Sud, c’est le chant des cigales, l’ombre des platanes, la lumière dorée sur les pierres blondes…et des routes qui donnent envie de sortir le vélo. Du canal du Midi aux
collines du Luberon, en passant par les bastides tranquilles du Lot-et-Garonne, la région se découvre à deux roues comme nulle part ailleurs : à la bonne vitesse. Celle
où l’on prend le temps de sentir la lavande, d’entendre le clapotis de l’eau contre une écluse ou de s’arrêter sur un marché improvisé.
Le mieux ? Y aller au printemps ou à l’automne, quand les couleurs sont superbes et la chaleur pas encore écrasante. Et côté hébergements, le long du canal, tout est prévu pour les amoureux du vélo : chambres d’hôtes au bord de l’eau, domaines viticoles reconvertis, auberges pleines de charme…De quoi allier l’utile au très agréable.
Le parcours est sécurisé et tout plat, parfait pour les familles ou les débutants. De La Réole à Moissac, en passant par Marmande, Agen ou Valence-d’Agen, chaque étape invite à la flânerie : baignade dans la Garonne, pique-nique au bord de l’eau, dégustation de vins ou sieste sous les noyers.
Le bon moment pour s’y aventurer ? Entre avril et juin ou de septembre à mi-octobre, quand la lumière est douce et les terrasses encore animées. Le réseau d’hébergements “accueil vélo” est bien développé, avec des hôtes souvent passionnés par leur région…et par le vélo.
Les montées ? Douces mais fréquentes, rien d’insurmontable si on prend son temps. Et en haut, la récompense : des vues à couper le souffle et des descentes grisantes à travers des paysages dignes d’un film de Pagnol.
Les plus sportifs peuvent se mesurer au mont Ventoux, sommet mythique pour les cyclistes du monde entier. Mais même sans grimper le géant de Provence, la région offre des boucles variées, entre lavande, oliviers et petits villages où le temps semble s’être arrêté.
Pour en profiter pleinement, misez sur la floraison de la lavande (fin juin à mi-juillet) ou l’automne, quand les vignes rougissent et que la lumière devient magique. Côté hébergements, c’est le grand luxe de la simplicité : bastides provençales, chambres d’hôtes cosy, domaines viticoles où l’on trinque au coucher du soleil après une belle journée de vélo.
Le canal du Midi : une balade dans le temps
Classé à l’UNESCO, bordé d’arbres centenaires, le canal du Midi déroule ses 240 kilomètres d’histoire entre Toulouse et la Méditerranée. C’est plat, ombragé, bucolique. Bref, le paradis du cycliste tranquille. Pour en profiter pleinement, pourquoi ne pas opter pour le Canal du Midi bike tour ? Ce séjour organisé en huit jours permet de découvrir, à son rythme, les plus beaux sites de la région : Toulouse, Carcassonne, le Cap d’Agde ou encore les canaux de Sète, entre vignobles, petits villages et bâtisses anciennes.Le mieux ? Y aller au printemps ou à l’automne, quand les couleurs sont superbes et la chaleur pas encore écrasante. Et côté hébergements, le long du canal, tout est prévu pour les amoureux du vélo : chambres d’hôtes au bord de l’eau, domaines viticoles reconvertis, auberges pleines de charme…De quoi allier l’utile au très agréable.
Le canal de Garonne : l’alternative secrète
Moins connu mais tout aussi attachant, le canal latéral à la Garonne relie Bordeaux à Toulouse. C’est un itinéraire plus secret, plus rural où les cyclistes croisent plus de hérons que de touristes. On y découvre une autre facette du Sud-Ouest, celle des bastides, des pruniers en fleurs, des marchés de campagne, des haltes ombragées et des petits ponts de pierre. Pour une découverte tout en douceur, le Bordeaux to Toulouse bike tour est une excellente option : sept jours de balade à travers les vignobles, les villages médiévaux et les paysages paisibles du canal, avec hébergements cosy et logistique incluse.Le parcours est sécurisé et tout plat, parfait pour les familles ou les débutants. De La Réole à Moissac, en passant par Marmande, Agen ou Valence-d’Agen, chaque étape invite à la flânerie : baignade dans la Garonne, pique-nique au bord de l’eau, dégustation de vins ou sieste sous les noyers.
Le bon moment pour s’y aventurer ? Entre avril et juin ou de septembre à mi-octobre, quand la lumière est douce et les terrasses encore animées. Le réseau d’hébergements “accueil vélo” est bien développé, avec des hôtes souvent passionnés par leur région…et par le vélo.
Le Luberon à vélo : la Provence à portée de guidon
Ah, la Provence…impossible de parler du Sud à vélo sans évoquer ses villages perchés, ses collines ondulantes, ses cyprès élégants et ses champs de lavande à perte de vue. Le Luberon est une carte postale grandeur nature, avec des routes sinueuses qui relient Gordes, Roussillon, Bonnieux ou Ménerbes, entre senteurs de garrigue et marchés colorés.
Les montées ? Douces mais fréquentes, rien d’insurmontable si on prend son temps. Et en haut, la récompense : des vues à couper le souffle et des descentes grisantes à travers des paysages dignes d’un film de Pagnol.
Les plus sportifs peuvent se mesurer au mont Ventoux, sommet mythique pour les cyclistes du monde entier. Mais même sans grimper le géant de Provence, la région offre des boucles variées, entre lavande, oliviers et petits villages où le temps semble s’être arrêté.
Pour en profiter pleinement, misez sur la floraison de la lavande (fin juin à mi-juillet) ou l’automne, quand les vignes rougissent et que la lumière devient magique. Côté hébergements, c’est le grand luxe de la simplicité : bastides provençales, chambres d’hôtes cosy, domaines viticoles où l’on trinque au coucher du soleil après une belle journée de vélo.
Pourquoi pédaler dans le Sud ? Parce qu’ici, tout est fait pour les cyclistes : voies vertes, trains acceptant les vélos, hébergements labellisés, loueurs sympas et même des services de bagages si on veut rouler léger. Et au-delà de l’aspect pratique, c’est l’art de vivre qui fait toute la différence : un verre de rosé en terrasse, un plat local dégusté au calme, un accueil chaleureux et mille paysages en un seul coup de pédale.
À vélo, le sud de la France se savoure lentement. On ne le traverse pas, on l’explore. On écoute, on respire, on goûte, on prend le temps. Un pont fleuri ici, une fontaine là, une fête de village au détour d’une ruelle…On revient de ces itinéraires le cœur léger, les jambes pleines de souvenirs et l’envie d’y retourner.